Vivre avec les Cassiopéens

Publié le par LilaLuz

Vivre avec les Cassiopéens

Les Cassiopéens sont des êtres très humbles et timides, ce sont avant tout des protecteurs des mondes vivants. Leur mission sur la Terre consiste à répertorier l’ensemble des abeilles afin d’en conserver le patrimoine génétique intact. Ils ont faits le tour de la planète, visitant chaque vallon, chaque espace vert à la recherche d’une ou de plusieurs reines dont le patrimoine génétique ne serait pas encore atteint par les dégénérescences induites par les pesticides.

Les Cassiopéens travaillent au service de la Conservation des réseaux vivants, ils font partie des peuples qui cheminent à travers l’espace pour collecter les spécimens polinisateurs, car la pollinisation est une des manières d’agir de l’Esprit Créateur. La Grande Bibliothèque des Codes Génétiques et des Akashas est régulièrement alimentée et remise à jour grâce aux recherches et aux expéditions des scientifiques envoyées par l’aspect Intelligent de l’Esprit de Vie partout où la vie s'exprime de manière diversifiée.

Les Cassiopéens sont doux. Leur monde est imprégné de Douceur à tous les stades de leur développement et de leur apparence, cela transparaît en chaque acte, dans leur mode de vie et leur façon d’être. D’abord, ils recueillent le moins possible afin de ne pas perturber les écosystèmes, eux-mêmes ne se mélangent pas aux populations ou très rarement. Leur apparence est adaptée aux ondes mentales des gens avec lesquels ils doivent interagir, ils prennent une apparence "projetée" ou holographique qui correspond au meilleur moyen d’entrer en communication sans perturber les personnes dans leurs conception du monde.

L’apparence la plus courante qu’ils emploient est celles de personnes âgées, un peu hippies, « baba cool » avec de longs cheveux, de longues barbes, des vêtements amples en matière naturelle. L’odeur qui les caractérise est un mélange d'épices ; cannelle, cardamone, poivre et sucre. Leur véritable apparence est plus proche de Chubaka ou des Ewoks ; très poilus, avec de très petites dents, plus ou moins larges ou grands, selon leur âge, leur provenance et leur genre. Ils ne consomment que du miel et des jus d’herbe. Leur unique aliment est le miel, et les jus d’herbe servent à conserver une hygiène intérieure, une fois par semaine ils ne consomment que le jus d’herbe pour réguler leur sang et apporter d’autres oligo-éléments. Ils n’utilisent pas d’eau, ni pour se laver, ni pour boire. Ils se lavent en passant dans une sorte de micro-ondes, qui fait briller leur poils et les débarrassent des odeurs de musc. Ils ont des brosses, pour lisser leurs poils régulièrement, ceux-ci sont aussi légers que de la plume.

Les hommes et les femmes semblent égaux en droit, ce qui compte est leur position professionnelle, leur fonction au sein du groupe fait que lorsque cette fonction est nécessaire, le chef de la bande est naturellement celui qui est le responsable du groupe par sa fonction. Le pilote est le chef au moment du maniement de l’appareil, mais la responsable des expéditions sera le chef incontesté lors des ramassages de plantes ou des abeilles. A chaque personne du groupe est attribuée une fonction, et chacun devient le chef à son moment. La seule hiérarchie est représentée par la mission en elle-même. C’est le but qui unit tous les individus dans un même élan. Lorsque l’un des membres ne se sent plus en accord avec les procédés utilisés, ou l’objectif de la mission, il est démobilisé, il a le droit de repartir vers une autre mission, en respectant quelques jours de vacances où rien ne lui est demandé et où lui-même ne peut rien exigé de la part des autres. Ce n’est pas de l’exclusion mais un temps d’Intériorisation et de purification intérieure avant de s’investir vers autre chose. Ces êtres s’investissent « corps et âme » dans les choses qu’ils font. Un groupe de travail est l’équivalent d’une famille d’âme, c’est un « groupe de pensée collectif ». Il n’y a pas de séparation entre ce qu’ils pensent, ce qu’ils vivent : ils communiquent en permanence avec le groupe comme s’il ne formait qu’un seul individu avec plusieurs « têtes ». Lorsqu’une divergence apparaît, elle déplace l’attention et la structure de l’ensemble du groupe, c’est pourquoi chaque individu se doit de s’auto-analyser régulièrement et contrôler son niveau d’investissement et d’accord avec le groupe pour conserver la clarté de l’objectif et la cohésion du groupe.

Lorsqu’il y a des mésententes, ils considèrent qu’il s’agit d’un besoin d’expression personnelle et les désaccords sont traités selon 3 phases : l’un des membres du groupe est déclaré Médiateur par les personnes qui se disputent, ils doivent ensemble déterminer qui sera leur médiateur, sachant que chacun des membres d’un groupe est doué dans un domaine particulier, le fait de choisir le médiateur donne déjà une direction sur le sujet qui crée le désaccord. Le médiateur écoute la version et l’intention de chacun des plaignants séparément. L’énergie d’un désaccord crée un cloisonnement individuel, une rupture de champ de communication du groupe. Le plaignant se sentant le plus indigné est celui dont le champ d’individualisation est le plus marqué, le plus obstiné ; nous dirions qu’il est « dans sa bulle », il ne se préoccupe que de sa vision et de ses interprétations de la situation, il s’enferme intérieurement et rejette la vision des autres. Une fois que le plus indigné, le plus blessé des deux est défini, il est mis au centre du groupe et doit donner sa version des faits à chacun des membres du groupe qui devra en retour faire un résumé par une phrase de ce qu’il a compris de l’affaire. Une fois que la personne qui s’est sentie blessée a raconté son histoire un certain nombre de fois, et qu’elle a reçu la parole ironique ou diplomate de ses camarades en retour, elle a une meilleure idée de ce qui s’est produit en elle-même, elle comprend ce qui l’a conduit à ressentir de la colère ou de la frustration envers l’autre ou les autres personnes du groupe. Le fait de raconter son histoire autant de fois permet de mettre en perspective la « réalité » du problème, et son véritable impact pour la personne et pour le groupe. Si le désaccord ne passe pas, malgré cette mise en perspective, c’est au groupe de s’excuser. Chacun des participants doit donner une offrande morale ou physique, pour « calmer le JE » et démontrer à celui qui s’isole combien il est utile et valorisé au sein du groupe par ses membres. Normalement, cet échange affectueux révèle les véritables liens et la valeur que chacun attribue au professionnalisme et à la personnalité de l’Individu blessé. Cette communion des véritables valeurs permet de régler définitivement les amertumes ou les incompréhensions et sinon, c’est la séparation d’avec le groupe. L’objectif étant de conserver la Confiance entre les membres afin que les compétences et l’énergie de chacun soient utilisées sans restriction ni méfiance.

La solidité d’un groupe n’est pas mise à l’épreuve par les rencontres avec des occupants des planètes traversées, car les procédures de contact sont très réglementées et que la majeure partie des mondes visités par les Cassiopéens ont des espaces d’accueil naturels établis et sécurisés depuis longtemps.

La particularité des Cassiopéens, au-delà de leur apparence, de leur grand respect pour la vie et son rythme d’évolution, est l’aptitude à déjouer le Temps. Une visite sur une planète ne dépasse jamais le temps d’une révolution complète de la planète sur elle-même, sur Terre cela signifie 24 heures. L’art des cassiopéens est leur capacité à revenir à leur moment d’arrivée autant de fois qu’ils peuvent sectionner le temps d’une journée. Leur principe d’action étant la collecte d’insectes pollinisateurs, cela ne dépend pas d’un temps social, d’une époque ou d’un niveau de connaissance, tant qu’ils n’entrent pas en contact avec des êtres humains, ils n’ont aucune obligation de respecter le temps d’une manière linéaire comme des êtres humains et ils s’alignent sur l’éternité de la Nature, sur le temps de reproduction des espèces ou sur le temps d’une révolution planétaire. Leur utilisation du Temps n’est pas notre perception du Temps. Par exemple, s’ils viennent à se poser à un endroit le 23 mai, ils vont faire des expéditions cette journée jusqu’au soir, dormir ou étudier, manger et le lendemain, à l’heure de leur arrivée, leur horloge intérieure sera remise à l’heure de leur arrivée ; le 23 mai. Et cela autant de fois que cela sera possible sans dépasser 24 heures, sachant qu’il y a toujours un décalage de quelques minutes à chaque réinitialisation. Ils vivent plusieurs semaines en une seule date, car ils fractionnent le temps. Je n’ai pas compris comment, simplement cela leur permet de ne pas enfreindre les lois sur l’évolution tout en prenant le temps nécessaire pour récolter les spécimens qui seront préservés.

La médecine des Cassiopéens est très avancée, ils soignent toutes les maladies puisque une maladie est considérée comme un déséquilibre de réseau. Si la Vie est un courant, le blocage de ce courant entraîne des agglomérats qui restreignent l’écoulement naturel et restreigne le passage de cette force vivante. La Vie est communication, intelligence et vivification, elle est autonome, se nourrie et se vivifie par elle-même ; tous les peuples et chaque espèces est normalement apte à se maintenir en vie en suivant l’exemple de la Vie qui est renouvellement. Mais lorsque l’on se déconnecte de l’essentiel, du courant vivifiant, on est en autarcie, on vit sur ses réserves, on les épuise, on se dessèche. Nous trouvons normal de vieillir, mais les espèces intelligentes n’en ont plus besoin.

Sur Terre nous vivons selon des critères de matérialité dense, nous donnons plus d’importance au temps linéaire, à la lenteur, à la dégradation. Ailleurs, les individus n’ont pas besoin de vivre selon ces critères, ils ne s’embarrassent pas d’amertume, de peur, de sentiments qui les freinent leurs découvertes ou l’acceptation de la Vie. Le passé n’existe pas, c’est un jour qui continue sans fin dont l’avenir est la conséquence des choix posés aujourd’hui, en cet instant.

Les Cassiopéens ont pour seule religion le Respect et la Gratitude pour la Vie, leur communion intérieure est leur unique prière. Merci à eux de me l’avoir partagée. Lila

Publié dans Vivre l'êtreté

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